Spécial Congo

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Congo – La très influente école de Poto-Poto

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Congo – La très influente école de Poto-Poto

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Fondée en 1951 par le Français Pierre Lods, l’école de peinture de Poto-Poto a formé plusieurs milliers d’artistes dont certains de réputation internationale. Elle constitue un important héritage du patrimoine congolais.

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Bâtie au pied d’un baobab, l’école de peinture de Poto-Poto est bordée par d’autres arbres qui protègent l’édifice tel un nid d’oiseau. L’école compte parmi ses anciens des peintres de réputation internationale comme Marcel Gotène, François Thango, François Iloki, Philippe Ouassa, Jacques Zigoma, , André M’Bon ou encore Michel Hengo. Certains sont installés à l’étranger. Sous l’influence de Félix Ossali, le premier élève de Lods, le style Miké, qui signifie « petit » en lingala, se développe. Composé de petits personnages aux formes schématiques et élancées, il n’est pas sans évoquer les peintures rupestres du Tassili. La mode du style Miké se situerait entre 1950 et 1954. Ce style, facilement reconnaissable est encore aujourd’hui la signature de l’école. Il sera copié dans toute l’Afrique.

La reconnaissance de l’école dépasse rapidement les frontières du Congo. La première exposition collective a lieu en 1952 à la galerie Palmes à Paris. La consécration a lieu en 1955-1956 lors de l’exposition au MOMA de New-York. Elle se confirme en 1958, quand plusieurs membres représentent l’école de Poto-Poto à l’Exposition Universelle de Bruxelles.

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Aujourd’hui, la deuxième génération de peintres de l’École de Poto-Poto assume pleinement son héritage, oscillant de la tradition africaine vers la modernité universelle. Ne se limitant plus à une production de « mikés » ou à des sujets traités en aplats, généralement cernés de noir à la manière de leurs aînés, ou encore à des thèmes rituels, ils se lancent dans des productions de style plus naturaliste, impressionniste ou abstrait. Leurs œuvres portent toujours le sigle PPP : Peintre de Poto-Poto. A chaque vente, 30 % revient automatiquement dans une caisse collective afin d’assurer le bon fonctionnement de l’École… Parmi ces artistes citons Pierre Claver N’Gampio, Sylvestre Mangouandza, Jacques Iloki, Gerly Mpo, Antoine Sitta, Adam Opou, Serge Dezon, Laeticia Mahoungou, Thierry Bongoualenga, René Bokoulemba, Romain Sylvère Mayoulou, Vanessa Agnagna, Albin Massa, Aris Dihoulou, etc.

En 2002, l’école a reçu la médaille Picasso de l’UNESCO. En 2014, le centre national d’art et de culture Georges Pompidou – Beaubourg de Paris a exposé les chefs d’œuvre de Marcel Gotene, de Nicolas Ondongo et de Jacques Zigoma dans le cadre de l’exposition « D’une rive à l’autre ».

L’école reçoit dorénavant une subvention accordée par l’Unesco et Parfait Mbon, le directeur de l’école, va mettre en place une galerie virtuelle pour permettre aux artistes de vendre leurs œuvres dans le monde entier. 

1953-2023 : 70 ans de la littérature congolaise 
70 ans déjà depuis que la littérature congolaise écrite s’affirme et s’étend au-delà des frontières par le génie de ses talentueux écrivains. Le Congo se démarque par sa singularité au sein de l’espace littéraire d’Afrique francophone. En effet, pays de taille modeste, il constitue pourtant l’un des viviers les plus importants d’écrivains africains d’expression française. Son grand nombre d’auteurs, leur effervescence créatrice exprimée au travers des différents genres du champ de l’écriture moderne, roman, poésie, théâtre, nouvelle, témoignent de l’existence d’une véritable littérature nationale avec Henri Lopes, Sony Labou Tansi, Julien Mabiala Bissila, Emmanuel Dongala, André Yaba, Aimé Éyengué, Bertrand Nguyen Matoko et bien d’autres…
Dans ce riche tableau, Alain Mabanckou constitue aujourd’hui l’un des auteurs majeurs de la littérature congolaise contemporaine. Il s’agit du premier écrivain à occuper la chaire internationale de Création artistique au Collège de France.

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