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Le Congo mise sur l’agro-industrie comme l’un des piliers de son Plan national de développement 2022-2026. Le gouvernement encourage ainsi l’implantation et le développement des agro-industries en s’appuyant sur des investissements privés.
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La nouvelle dynamique agricole est facilitée par des investissements agro-industriels. Le département du Niari est l’un des principaux bénéficiaires de ces réformes entreprises par les autorités congolaises avec le soutien de bailleurs comme la Banque mondiale et la CNUCED. Situé à 160 km de Pointe-Noire, il a vu depuis quelques années l’installation d’acteurs internationaux à l’instar d’Agri Resources Group ou encore Tolona, une entreprise espagnole.
Installée à Dolisie depuis 2016 où elle y gère plus de 69 000 hectares de terres, Agri Resources Congo, filiale d’Agri Resources Group (la branche agricole de Monaco Resources Group) a investi dans la production locale de céréales (riz et maïs) et maraîchère (chou, poivrons, oignons verts, piment, oignon). Ils produisent plus de 20 tonnes de légumes, et cela, grâce à la main d’œuvre locale et des pratiques agricoles durables. La prochaine étape est centrée sur la transformation de ces matières premières.
Le groupe Tolona, également présent sur les bords du fleuve Niari, produit du maïs et autres cultures à haute valeur ajoutée. L’entreprise s’est également lancée dans l’élevage de volailles destinées à la production d’œufs, afin de fournir le marché local à prix réduits.
Ces deux exemples illustrent la nouvelle dynamique, fruit de réformes du gouvernement qui veut accompagner les plus petits exploitants, comme le témoigne la validation début 2022 du projet d’appui au développement de l’agriculture commerciale (PDAC).
Dans son message de vœux à la Nation à l’occasion du nouvel an 2023, le président de la République, Denis Sassou Nguesso, a réitéré le « ferme engagement » de construire la première usine de fabrication d’engrais et de fertilisants du pays dans la Zone économique spéciale (ZES) de Pointe-Noire. Son coût est évalué à 2,5 milliards de dollars.
Le Plan national de développement 2022-2026 place donc au cœur du processus de diversification, l’agriculture au sens large ainsi que l’industrie dans la composante liée à la transformation des produits de base.
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LE CONGO, FUTUR EXPORTATEUR D’ENGRAIS
Le Congo dispose aussi d’importants gisements de potasse essentiels à la production d’engrais. La société australienne Kore Potash, qui exploite deux gisements d’une superficie de 650 km² dans le Kouilou, entend investir 4 milliards de dollars (près de 2500 milliards FCFA) sur vingt ans, pour une production annuelle de 5 millions de tonnes de potasse. Cette réserve de potasse est considérée de classe mondiale, avec une importante teneur des minerais et une faible profondeur des dépôts en moins de 300
mètres. Le développement de la production pourrait hisser le Congo au rang des grands pays exportateurs d’engrais et l’aider à détenir 6% de la production mondiale, selon des estimations officielles.
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