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Le gouvernement congolais veut une meilleure gouvernance du secteur forestier avec l’adoption du nouveau code forestier de 2020 et l’engagement de l’État d’interdire l’exportation des grumes pour favoriser le développement de l’industrie de transformation du bois au niveau local à travers des zones économiques spéciales.
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Le gouvernement congolais veut faire passer une loi spécifique pour consacrer le partage de production entre l’État propriétaire et les compagnies forestières.
Le principe de partage de production du bois constitue l’une des réformes du nouveau code forestier de 2020 de la République du Congo. Mais la complexité des modalités de partage de production entre l’État et les concessionnaires freine à ce jour sa mise en œuvre. Pour cela, les autorités ont initié une étude pour définir les contours de la réforme et lancé une consultation des parties prenantes, notamment des parlementaires, des partenaires techniques et financiers, du secteur privé et de la société civile.
En initiant le partage de production des produits forestiers, l’exécutif compte augmenter la contribution du secteur au produit intérieur brut. La révision de la fiscalité forestière avec l’introduction de deux nouvelles taxes, à savoir la taxe d’occupation et la taxe de résidus, résulte de la volonté du gouvernement de booster les recettes de la filière forêt-bois. Cette politique est consolidée par l’idée de développer une industrie du bois capable d’approvisionner le marché national.
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En effet, le partage de production peut aller de 20 à 60%, selon le volume des grumes produits par le concessionnaire. La durée de la convention d’aménagement et de transformation est passée à 30 ans, contre 25 ans dans l’ancienne loi. Cette durée permet de mener à bout l’aménagement et sécurise les investissements dans l’aménagement réalisé par le concessionnaire forestier. Il y a également l’obligation d’obtenir un certificat de légalité pour pouvoir réaliser l’exploitation à but industriel.
Parallèlement, la mise en œuvre de l’Accord de partenariat volontaire (APV) entre la République du Congo et l’Union européenne (UE) veut déployer un système informatisé de vérification de la légalité du bois (SIVL). Cet outil est censé permettre au Congo de vendre en toute transparence son bois sur le marché européen.
Les concessions forestières sont attribuées à 35 entreprises forestières. La Congolaise Industrielle des Bois (CIB), filiale d’Olam Agri, est devenue en 2022 la première entreprise en Afrique à mener à terme un projet certifié Forest Stewardship Council™(FSC™) avec la construction d’un restaurant pour les employés de la Wildlife Conservation Society Congo (WCS) et de la Fondation Nouabale Ndoki (FNN). La CIB est le fleuron national de l’industrie forestière suivi de la société privée Industrie forestière de Ouesso (IFO).
La mesure interdisant l’exportation des grumes est entrée en vigueur en République du Congo depuis le 1er janvier 2023. Le principal défi reste le renforcement des compétences locales dans la transformation du bois, l’utilisation des matériaux et le choix des espèces.
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