Spécial Congo

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Congo – Le système bancaire et financier congolais

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Congo – Le système bancaire et financier congolais

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L’ensemble des banques pratique des activités de banque universelle. En dépit d’une forte présence d’acteurs bancaires, le taux de bancarisation demeure encore très faible. Les banques étrangères contrôlent près de 90% du marché.

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Avec dix établissements de crédit actifs (hors établissements de microfinances et banques de développement), on distingue : les groupes panafricains (UBA, EcoBank, BGFI Bank) ; les groupes marocains (LCB, CDCO, BCI) et des banques congolaises notamment BSCA Bank, Banque Postale, BCH et BESCO. Avec 31,76% de part de marché, la filiale congolaise BGFI devance LCB (13,9%) et le Crédit du Congo (11,31%) – CDCO, filiale de la Banque marocaine Attijariwafa- en termes de créances sur l’économie.

On note une évolution mitigée au niveau de l’activité du système bancaire national. En effet, l’encours des crédits bruts accordés à la clientèle a connu une contraction de 5,2% pour revenir à 1338,1 milliards de FCFA au 30 avril 2023, ainsi qu’un recul des créances en souffrance de 2,9%, pour s’établir à 253,4 milliards.

Concernant le marché des titres publics de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), le Comité national économique et financier (Cnef) relève que le Trésor public congolais est resté actif, mobilisant ainsi des financements à hauteur de 612,9 milliards de FCFA à fin avril 2023, soit une hausse de 37,1% par rapport au montant levé un an plus tôt. Cette évolution a apporté un encours des titres publics congolais à 1857,2 milliards, représentant 31% du total de la Cemac.

En dépit d’une forte présence d’acteurs bancaires, le taux de bancarisation demeure encore très faible, 16,69% selon la Commission Bancaire d’Afrique Centrale. 

Le système bancaire et financier congolais est concentré sur l’intermédiation traditionnelle et a réussi la digitalisation.

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Le paysage bancaire s’est considérément transformé, passant d’un contexte de fragilité marqué par des crises à un paradigme rassurant à la fois solide, intégré, et de plus en plus systémique. Dans les réformes entreprises, on trouve la libéralisation et l’autonomisation du secteur bancaire ; le renforcement des mesures de surveillance, de contrôle interne, de LAB/FT par les régulateurs, BEAC et COBAC ; le relèvement du niveau du capital social en l’occurrence celui des fonds propres ; la convergence voire l’alignement aux évolutions majeures du secteur financier mondial avec les normes bâloises ; l’arrivée des acteurs privés.

La Banque centrale s’attaque, de son côté, à l’implémentation des réformes engagées dans le secteur du crédit avec l’élaboration des textes réglementaires relatifs à la mise en œuvre d’un répertoire de sûretés mobilières en République du Congo. Ceci permettra aux acteurs du secteur bancaire, clients et prêteurs, de recevoir, conserver et rendre accessible au public certaines informations relatives aux sûretés réelles mobilières. L’objectif de cet outil vise à l’asymétrie d’informations entre emprunteurs et prêteurs d’argent et de rendre le crédit plus accessible. Par exemple, les banques congolaises ne financent pas suffisamment le secteur agricole.

À côté de cette réforme, la BEAC va accroître le panier des instruments de financements de l’économie notamment le crédit-bail et l’affacturage qui aideront le secteur privé à accéder aux emprunts sans grande contrainte.

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